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Amado, une lampe d’inspiration japonaise

Amado, une lampe d’inspiration japonaise

L’artisan designer Jean Iannazzi de Maison Ji, très inspiré par le « Wabi-sabi », courant ancestrale japonais, récidive avec la création de cette lampe… Amado, qui détourne l’utilisation des volets des maisons traditionnelles du Japon pour diriger ou tamiser la lumière de façon totalement modulable. Une nouvelle exploration tellement réussie…

La nouvelle lampe de Maison ji est un cube en acier aux parois magnétiques mobiles qui coulissent de manière aléatoire pour générer de la lumière et tamiser l’ambiance d’une pièce.

Amado s’inspire des codes des maisons traditionnelles nippones et tire son nom des volets du même nom, éléments caractéristiques de l’architecture japonaise… de grands et larges panneaux coulissants fixés le long des façades protègent la maison des intempéries. Leurs mouvements complètent l’éclairage intérieur et jouent avec les rayons du soleil.

Grâce à ses quatre plaques amovibles faisant office de variateurs de lumière, le cube de 15 cm peut être utilisé aussi bien comme veilleuse sur la table de chevet que comme éclairage d’appoint dans le salon. Chacun est alors libre d’éclairer la page d’un livre, un tableau, un bouquet de fleurs ou simplement le plafond.

Simple, modulaire, intemporel

Le matériau. L’acier rend les lampes Amado beaucoup plus robuste avec une grande durée de vie… une invitation à consommer dans la durabilité. Les différentes manières dont ce métal est travaillé offrent des nuances et des lustres infinis, tous plus profonds et poétiques les uns que les autres, donnant à chaque pièce une personnalité unique.

Les formes. La simplicité et la géométrie des lignes confèrent à la lampe Amado une puissance sculpturale intemporelle et une grande adaptabilité dans l’espace convenant à différents styles de décoration.

La modularité. Grâce au placement minutieux de petits aimants sur ses objets, Jean Iannazzi promet un décor toujours changeant, sensible et personnalisé en manipulant les possibilités lumineuses du luminaire. Selon lui, les objets du quotidien sont de véritables reflets de l’âme qui doivent s’harmoniser en toutes occasions avec les souhaits et les émotions des heureux propriétaires.

Une fabrication fait main au cœur de la Lorraine

Les pièces de Maison ji sont entièrement fabriquées à la main en Lorraine. Chaque pièce est signée « ji » dans le style des sceaux ancestraux japonais hanko.

L’artisan designer porte une attention toute particulière à la patine de la matière, qui donne à ses lampes d’art un sens de la profondeur et un toucher très doux.

Pour la lampe Amado, Jean Iannazzi a collaboré avec un artisan ferronnier – Compagnon du Devoir exerçant en Lorraine – dans le processus d’assemblage structurel, une étape intermédiaire particulièrement technique qui nécessite un outillage de haute précision.

Informations utiles

Disponible en pré-commande jusqu’à fin juin 2022 pour une livraison d’ici fin septembre 2022 • Prix : 620 euros (520 euros en précommande jusqu’en juin 2022) • Expédition dans toute la France et en Europe • Modèles déposés à l’INPI.

A propos de Jean Iannazzi-Tritschler

En 2018, Jean Iannazzi offre à ses parents un bougeoir magnétique auquel il pensait depuis longtemps, et il le fait enfin vivre dans une grange à côté de la maison familiale en Lorraine. Tantôt mis en valeur au-dessus d’une cheminée, tantôt au centre d’une table chaleureuse, l’objet séduit par sa modularité, ses lignes épurées et ses matières douces. C’est ainsi qu’est née Maison ji, un clin d’œil discret aux initiales de son fondateur et une forte volonté de réunir des gens qui s’aiment sous un même toit et autour d’objets curieux.

Le jeune trentenaire artisan designer, Jean Iannazzi, s’est fait connaitre du grand public lors de sa sélection en tant que « jeune espoir » à participer au Salon d’Arts en Artisans au Château de Courcelles de Montigny-lès-Metz en octobre 2019. Jean Iannazzi-Tritschler a osé défier le métier. Simplement. Car dans sa vie « à tiroir », le Longevillois a voulu travailler de ses mains. Normal quand on a grandi dans une famille à la fibre artistique. Dans une maison très paisible à l’ambiance élégante où chaque objet a son histoire.

Le jeune homme a été plongé dans cette ambiance et déclare : « Emmanuelle, ma mère, a toujours voulu que ses décorations soient utiles, non figées, on pouvait les prendre les regarder, les sentir, les analyser,… ». Inspiré par le feu, l’acier et la soudure, il a appris les bases avec son grand-père Antonio, soudeur. En héritant de ces outils traditionnels avec la joie de créer comme fil conducteur, il a mis en fabrication ce fameux socle recouvert de tubes magnétiques de hauteurs variables. Un petit théâtre à géométrie variable, des bougeoirs modulables. Cet objet ludique et interactif, baptisé « Sabi » fait référence à la tendance japonaise wabi-sabi… une ode au temps ternissant, patinant et usant les choses.

Après avoir exploré la lumière des bougies, Jean Iannazzi, passionné par les atmosphère et la lumière, a développé sa première lampe très naturellement au printemps 2022… Ainsi est née Amado. Une lampe, conçue comme un complément au chandelier qui s’inspire du même concept…  le Pays du Soleil Levant d’une part, sa philosophie et son élégance tout en finesse et l’architecture d’autre part, évoquant les maquettes traditionnelles préliminaires.

André Tirlet